& étendard
national
monogramme
nationaux
pays
Écu : parti en branches de sapin d’azur et d’or, aux lions affrontés de l’un en l’autre, armés d’argent et lampassés de gueules, tenant au premier une rose d’argent, pointée et boutonnée de gueules et au second une rose de gueules, pointée et boutonnée d’argent, chacune tigée et feuillée de sinople.
Cimier : un soleil d’or non figuré mouvant de l’écu, et un aigle volant au naturel tenant une orbe d’or cerclée de sable.
Supports : à dextre, Mélusine nageante, au peigne et au miroir, accostée d’un guidon de Charente – losangé d’or et de gueules – , et, sur le rivage, d’une corne d’abondance ; à senestre, une licorne d’argent, accostée d’un guidon d’Eure-et-Loir – coupé ondé, au 1 d’azur aux trois fleurs de lys d’or et au lambel d’argent, au 2 aussi d’argent aux trois chevrons de gueules – , et, à ses pieds, sur une pelouse de sinople, trois dés d’argent aux points de sable marquant quatre, deux et un. Les deux guidons évoquent les origines du couple impérial fondateur.
Devise : sur un listel d’or cousu de gueules, en lettres de sable : « Angyalistani Est Imperare Orbi Universo. » La devise différencie ces armoiries de celles utilisées à titre personnel par les souverains, qui y remplacent généralement le mot Angyalistani par le mot Amoris.
& étendard
Le drapeau impérial est bleu et jaune, basé sur l’azur et l’or des armoiries qu’il porte en son centre.
Son motif central reprend les initiales des souverains : un O ceint d’un C constitué de sept étoiles évidées. Le chiffre sept est porteur de toute sa symbolique habituelle, évocateur de perfection et de fortune. Le tout repose sur une construction en gousset qui évoque d’une part une communion de destins, exprimée par le triangle situé au guindant, et d’autre part le territoire de l’empire, s’étendant en une ligne droite au battant vers l’∞.
L’étendard impérial est identique, mais porte les armoiries des souverains, dotées de leur version personnelle de la devise, et est orné de franges dorées sur les longueurs haute et basse et sur la largeur du battant.
Les citoyens qui le souhaitent peuvent dessiner leur propre drapeau angyalistanais en utilisant les ratios suivants :

national
L’hymne national, dont le refrain reprend la devise impériale, a été écrit et composé en 2012 par Majesté Impériale.
Il est ici interprété par l’Orchestre national d’Angyalistan, sous la direction de SMI, dans une version uniquement instrumentale, en l’absence des Chœurs de l’Armée Impériale.
Selon les coutumes de l’Empire, l’hymne national est joué chaque matin à 4h21 à l’occasion du lever des couleurs.
Sur les sept mers et les cinq continents,
D’un pôle à l’autre, d’orient en occident,
L’Empire est là veillant sur l’horizon,
Promulguant les lois qui nous guideront.
Rêve absolu fait monde, l’Angyalistan,
Libre et souverain, combat de chaque instant,
Etend sur les cieux et toutes les saisons
L’azur et l’or de son fier pavillon.
Angyalistani est imperare orbi, orbi, orbi, orbi,
Angyalistani est imperare orbi universo
Alignant le feu, l’eau, la terre, et les vents
L’Empire étend son espace infiniment ;
Jamais le soleil n’éteindra ses rayons
Sur la beauté nonpareille de ses horizons.
monogramme
Angyalistani Est Imperare Orbi Universo
La devise de l’Empire est empruntée à Frédéric III de Habsbourg, qui utilisait l’acrostiche A.E.I.O.U. auquel plusieurs sens ont été attribués, dont notamment, à l’époque de la double-monarchie austro-hongroise, l’expression latine Austriæ Est Imperare Orbi Universo : il revient à l’Autriche de régner sur le monde. Ce bel objectif trouve son expression dans la succession des 5 voyelles originelles de l’alphabet, qui peut aussi être analysée comme l’expression ineffable du nom de Dieu.
Doté de la même ambition totalisante que celle de la dynastie habsbourgeoise, le couple impérial s’est choisi une devise personnelle analogue, qui attribue l’imperium à leur propre raison d’être, sous la forme : Amoris Est Imperare Orbi Universo. Une totalité qui trouve aussi son expression dans la complémentarité naturelle des félins affrontés qui constituent leur écu.
Dans l’exercice temporel du pouvoir, la devise attribuée à l’Empire fait du A l’initiale d’Angyalistan. L’expression, de totalisante, devient tautologique, puisqu’il va de soi que le territoire in-fini de l’Angyalistan, à l’horizon, règne par essence sur l’univers lui aussi in-fini.
Le sceau impérial porte en son centre les meubles de l’écu. Légendé en toute logique « Magnum Sigillum Imperii Angyalistani« , il porte également la mention A.E.I.O.U. issue de la devise impériale, entourée de deux roses que s’offrent les lions des armoiries. Il garantit l’authenticité des documents de l’Empire.
Le monogramme impérial reprend aussi « la même rose » (évocation des vers de Mallarmé dans O, si chère de loin … : La même rose avec son bel été qui plonge / Dans autrefois et puis dans le futur aussi), stylisée, et, à la manière de leur expression sur le drapeau angyalistanais – mais dans une combinaison exactement inverse -, les deux initiales des souverains l’une en l’autre, C et O. Il signe systématiquement les décrets impériaux.
nationaux
À l’occasion de la Journée mondiale 2015 du tamanoir, le 29 novembre 2015, S.M.I. a souhaité élever cette espèce au rang d’animal national et a invité les citoyens et résidents à nommer d’autres espèces. Pas moins de quatorze propositions ont été reçues en décembre 2015 et en janvier 2016 et soumises au vote des résidents et citoyens angyalistanais en février-mars. Les quatre animaux qui ont recueilli le plus de votes ont ainsi pu rejoindre le tamanoir dans la panthéon zoologique angyalistanais, que domine par ailleurs la Licorne, animal ontologique de l’Empire, sous la forme du culte de la Licorne rose invisible.
Ont été désignés animaux nationaux :
- le tamanoir (Myrmecophaga tridactyla),
- le quokka (Setonix brachyurus),
- l’ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus),
- le paresseux nain (Bradypus pygmaeus),
- et le panda roux (Ailurus fulgens).

pays

Adopté en 2020, le logotype du gouvernement impérial a vocation à accompagner ses actions de communication.
Mettant en valeur l’animal emblématique de l’Empire d’Angyalistan – la licorne rose invisible, ici représentée en or -, les 7 étoiles du drapeau national et une ligne symbolisant évidemment l’horizon, le logotype rappelle également le macaron dédié aux véhicules angyalistanais, dont le 8 couché en forme de point sur le i représente à la fois les huit lettres qui séparent le A initial du AN final, et bien sûr l’infinité de l’étendue de l’Empire.
Le logotype n’a pas vocation à remplacer les symboles traditionnels de l’Empire : il les complète. Il est décliné en deux langues, en français et en anglais.
