Signature d’un avenant au Traité de reconnaissance mutuelle entre la Principauté d’Aigues-Mortes et l’Empire d’Angyalistan

Signature à Alcatraz de l’avenant au traité entre Aigues-Mortes et l’Angyalistan

En juillet 2014, la Principauté d’Aigues-Mortes et l’Empire d’Angyalistan signaient un traité de reconnaissance mutuelle établissant les relations diplomatiques entre les deux nations. Un an plus tard, l’amitié qui les lie a trouvé un nombre impressionnant d’illustrations : des échanges de savoirs et de bons procédés ont été menés à bien dans de multiples domaines, conformément aux espoirs partagés qu’avait suscité ce premier traité.
Un accord informel d’entraide global avait déjà été scellé lors du sommet de décembre 2014, prévoyant un échange de compétences dans les domaines du développement de la population, de la communication et de l’image et l’étude d’une charte éthique commune. Ce dernier aspect rejoint d’ailleurs de nombreux aspects de la collaboration angyalistano-aigues-mortaise au sein de l’organisation naissante de la MicroFrancophonie.

À l’occasion du sommet international PoliNation 2015, 3e Conférence internationale des micronations organisée en République d’Alcatraz les 4 et 5 juillet, les deux souverains ont franchi un palier supplémentaire en signant, devant les caméras notamment d’une télévision française (diffusion prévue en septembre), un avenant au Traité établissant des relations diplomatiques entre les deux monarchies. Le Prince Jean-Pierre IV d’Aigues-Mortes et S.M.I. Olivier d’Angyalistan ont ainsi réaffirmé les grands principes de leurs collaboration devant témoin, et sont convenus de l’établissement de réunions régulières dites du « groupe de Paris », au cours desquelles auront lieu des échanges sur le travail effectué, et seront évaluées « la pertinence des actions menées conjointement, parallèlement, réciproquement ou bijectivement, et l’opportunité des actions à mener dans les mêmes conditions ».
Les deux monarques ont souligné devant la presse la solidité de leurs relations et leur confiance dans la continuité de leur développement ultérieur.